2010年9月8日星期三

Des partenaires circonspects

Pour Steve Ballmer, Pdg de Microsoft,jimmy choo prix, l’idée est simple : «permettre à notre clients de profiter de la même infrastructure [que nous], conçue à partir de tout ce que nous avons appris avec Windows Azure et SQL Azure.» Bob Muglia, président Server and Tools de Microsoft, précise le besoin : «comment [permettre à un client de] faire fonctionner Azure dans son centre de calcul ?» Et la réponse de tomber : en enfermant un petit bout d’Azure dans une boîte, une appliance. L’idée est donc simple : proposer une version d’Azure en Cloud privé. Avec, donc, un niveau de contrôle supplémentaire, par rapport à un cloud public : « ça reste un service, fourni par Microsoft,ghd lisseur, mais il est possible de contraindre les données à ne pas sortir du cloud privé, décider des mises à jour à appliquer, etc.» Lesquelles seront néanmoins poussées par Microsoft soucieux de maintenir précisément une certaine continuité entre Azure public et Azure privé.

Un concept encore bien peu concret

Pour l’heure, l’appliance Azure ne devrait être proposée que par Dell, Fujitsu et HP, via EDS - il est à noter que Dell et HP sont déjà les deux fournisseurs retenus par Microsoft pour les serveurs de son offre de cloud public Azure. HP est en outre, pour l’heure, le seul constructeur de "l’appliance". Microsoft assure que d’autres suivront, mais ceux-ci devront suivre un cahier des charges technique défini par l’éditeur et pour l’instant gardé secret. Interrogé sur le sujet, Bob Muglia explique que Microsoft entend «prévalider et tester le matériel», sur ses propres infrastructures, et qu’il prévoit de «donner accès aux spécifications [de l’appliance] aux constructeurs tiers et aux clients qui le souhaiteraient, pour validation.» Mais aucun calendrier d’extension de la disponibilité de cette appliance n’est avancé. Pas plus, d’ailleurs,ghd fer a lisser, que la moindre indication sur le modèle commercial et tarifaire retenu. Sollicité sur ce point, Bob Muglia n’exclut pas un modèle à l’abonnement ou en location, qui serait «pertinent». Et de préciser néanmoins que rien, sur cette question, n’a encore été arrêté. On sait juste que le premier client de l'offre privée Azure n'est autre que le géant du commerce en ligne américain eBay.

Des partenaires circonspects

Du côté des partenaires, outre eBay, Dell et Fujitsu, qui sont montés sur scène à l’occasion de la présentation de ce qui ne ressemble pour l’heure qu’à un concept, l’humeur est à la prudence. Et surtout aux questions. Car, si nombre de constructeurs s’accordent à estimer que Microsoft cherche là à les rassurer - en leur promettant une place étendue dans le modèle commercial d’Azure -, la plupart de ceux que nous avons rencontrés s’interrogent : «est-ce que mes clients pourront le mettre directement dans leurs datacenter ? est-ce que ce sera à moi de l’installer sur mes infrastructures puis de le mettre à disposition ? Selon quel modèle économique ?»

Reste que certaines considérations réglementaires pourraient aider Microsoft à aller un peu plus rapidement de l’avant : contraintes sur les données bancaires, sur les données personnelles, sécurité des données - y compris aux yeux des autorités américaines avec le Patriot Act... le cloud public fourmille d’incertitudes pour les entreprises, notamment sur le vieux continent. Marc Silvester,air max, CTO de Fujitsu Global Group, l’a bien compris : la possibilité de mixer cloud public et privé, de manière souple, pourrait selon lui constituer un début de réponse et aider à l’adoption d’Azure. Et au passage des offres des partenaires de Microsoft autour du nuage de l’éditeur. Charité bien ordonnée...

Une bonne publicité pour Chrome

Selon le Microsoft Security Response Center, qui gère la réponse de Redmond aux failles affectant ces technologies, l'éditeur va prochainement sortir une rustine comblant la faille de son navigateur Internet Explorer,manolo blahnik pas cher, faille exploitée par la récente attaque contre de nombreuses sociétés américaines dont Google. L'éditeur a confirmé que ce patch sortirait avant son prochain "mardi de la rustine" (Patch Tuesday),converse pas cher, programmée pour le 9 février. La rustine concernerait toutes les versions d'Internet Explorer, selon ZDNet. Elle est actuellement en cours de tests.

Data Execution Prevention : une protection illusoire ?

Plusieurs codes exploitant cette faille circulent sur le Web. Si Microsoft soutient que les attaques n'affectent que la version 6 de son navigateur, et recommande de migrer vers la dernière mouture d'IE (la 8), des chercheurs en sécurité affirment désormais avoir développé des codes permettant de lancer des attaques similaires sur les versions 7 et 8 de l'outil. Le chercheur Dai Zovi explique notamment que la fonction DEP (Data Execution Prevention, une fonction censée bloquer certaines attaques, notamment par débordement de mémoire tampon) - le mécanisme que Microsoft met en avant comme préservant les derniers IE de cette vulnérabilité - est inactive par défaut sur de vieilles versions de Windows (Vista RTM, XP SP2 ou plus anciennes).

Pire : la société française Vupen Security affirme avoir développé un exploit permettant de prendre le contrôle d'une machine même quand la fonction DEP est activée. Si cette société basée à Montpellier réserve le code de cette attaque ciblée sur IE 8 et exploitant JavaScript à la communauté de la sécurité, le contournement de DEP constitue clairement une escalade dans la gravité de la faille mise au jour. Pas réellement une surprise pour Dai Zovi, cité par nos confrères de Computerworld. Ce dernier explique que des techniques de contournement de DEP sont dans la nature depuis plus de deux ans. Le chercheur prévoit d'ailleurs de présenter sa propre méthode en mars, lors de la RSA Conference.

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En somme, la ligne de défense mise en place par Microsoft semble d'ores et déjà enfoncée. Les multiples exploit, sur des versions différentes de IE et de Windows, qui fleurissent ça et là amenant par ailleurs pas mal de confusion pour les utilisateurs, qui plus esr parfois bloqué par des liens unissant des applications métiers à d'anciennes versions d'IE. Pour l'heure, malgré les techniques de contournement DE DEP, les configurations basées sur IE 8 ET Windows Vista SP1 ou versions ultérieures apparaissent toutefois comme les plus sûres.

Si elle a touché Google de plein fouet, l'attaque, attribuée aux services de renseignement chinois,chaussure lacoste, pourrait bien finir par avoir un côté positif pour la firme de Mountain View. En jetant la confusion sur la sécurité d'IE, l'opération ouvre en effet un boulevard à Chrome,timberland france, le navigateur de Google, dont le mode bac à sable est souvent vu par certains experts, notamment Dai Zovi, comme le nec plus ultra en matière de sécurité des navigateurs.

Résultats - Logica profite de la force de l'outso

Avec un recul de son chiffre d'affaires limité à 3 % sur l'année à périmètre constant (à 4,1 Md€) Logica signe une année 2009 certes peu enthousiasmante, mais aussi relativement solide. La décroissance enregistrée par le Britannique reste ainsi légèrement inférieure à celle d'Atos-Origin ou à celle de Capgemini. Comme déjà signalé au cours de l'année, la santé de la SSII doit beaucoup à sa branche outsourcing (37 % de l'ensemble de l'activité) qui progresse de 9 %, tandis que les activités plus cycliques de conseil et d'intégration accusent,lisseur professionnel ghd, elles, un recul de 10 %. La marge opérationnelle du groupe reste, elle, quasi-stable à 7,4 %. Autre facteur de "résistance" : la baisse de la Livre Sterling, monnaie dans laquelle Logica publie ses comptes annuels.

En France, la SSII termine l'année avec un chiffre d'affaires de 873 M€, soit une décroissance de 2 % sur un an. Ce qui témoigne d'une fin d'année assez dynamique. A l'automne la filiale connaissait une décroissance de 5 %. De facto,chaussure puma, selon Logica, la France a retrouvé le chemin de la croissance en fin d'année, portée notamment par la signature du contrat ONP (Opérateur National de Paie). La marge,nike shox, en léger recul, y atteint 7,5 %. Fruit du rachat d'Unilog, l'implantation du groupe dans l'Hexagone - seconde géographie de Logica derrière les pays nordiques - est notamment portée par la progression de l'outsourcing, qui gagne 19 % par rapport à 2008.

En Grande-Bretagne,chaussure prada, où Logica progresse de 6 % sur un an, l'activité est soutenue par le relatif dynamisme du secteur public, qui pèse plus de 60 % du total. Un risque pour la SSII, le gouvernement britannique ayant manifesté sa volonté de réduire ses dépenses IT. "Nous nous attendons à un ralentissement des prises de décision du secteur public britannique en 2010", reconnaît d'ailleurs Logica dans un communiqué. Avant d'ajouter : "Malgré les pressions des gouvernements européens pour réduire les dépenses, nous continuons à détecter des opportunités à moyen terme pour réduire les coûts via l'outsourcing".

Le groupe s'attend à une première moitié de 2010 toujours en décroissance, mais à un exercice qui, au global, devrait afficher une stabilité par rapport à l'année écoulée. Fin 2009, Logica employait 38 800 personnes environ, 1 100 de moins qu'un an auparavant. "Ce recul est avant tout le résultat de nos actions pour réduire les effectifs non facturables", précise la société. En France,rolex replica, les effectifs se sont allégés de 250 personnes (à 8 880). Et 13 % des effectifs de la SSII sont désormais localisés dans des pays low cost.